VOYANCE SANS CB

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M. Durand accepte ces clauses et un sentiment de idéal est trouvé. Une renseignement antenne de jolie voyance ouvrira ses portes dans six mois, dans une cité voisine. Marianne se voit confier la supervision générale, alors que Camille est chargée de recruter de la voyance partageant leur plan. Olivier, lui, se prépare à bien exempter de quelques formations, pour éviter d’inculquer les bases de la voyance sans cb : écoute, empathie, humilité. Les semaines qui accompagnent sont conjointement exaltantes et stressantes. L’équipe se scinde souvent pour surfer dater les locaux, enraciner de certaines partenariats locaux, ameuter du tangible. Noémie se propose pour copier quatre ou cinq permanences sur place, dès que l’adresse aient été opérationnel. Baptiste, plus attaché aux racines, préfère s'enfermer à la maison-mère, convaincu que la résistance du milieu initial est non-négligeable. Parallèlement, les consultations continuent d’affluer dans le cabinet ancestrale. Certains la clientèle réguliers s’inquiètent du changement à bien venir : « Ne va-t-on pas perdre en qualité ? Cette formule de voyance sans cb restera-t-elle en vigueur ? » Olivier et Camille les rassurent, expliquant que l’expansion est justement conviction pour élargir l’accessibilité, pas pour la rogner. Ils insistent sur le geste que leur opinion demeure inchangé : individu ne devra se connaître contraint de payer d’emblée, et chaque personne devra legs relâcher ses sentiments sans effroi d’être jugé. À l’approche du large date, une impression d’effervescence envahit l’équipe. Les cartons de réel s’entassent, les plannings se perfectionnent, et de certaines formations intensives sont dispensées à les nouvelles recrues prometteuses. Olivier veille scrupuleusement à ce qu’aucune dérive mercantile ne s’installe. Il répète inlassablement : « Notre vitesse, c’est notre passion. 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